En quelques jours, l’Ordre national des masseurs kinésithérapeutes et l’un des principaux syndicats de la profession ont rencontré les plus hauts dirigeants en charge de la santé. Des discussions, que chacun salue, mais vont-elles enfin permettre de réelles avancées ?
Les réseaux sociaux constituent un des canaux de communication les plus utilisés par les patientes et les patients. Aussi est-il naturel, que les kinés libéraux et autres soignants décident de rester en lien avec leur patientèle. Comment communiquer en respectant toutes les règles déontologiques ?
Pour un kiné libéral, être facilement et rapidement identifiable par les patients reste une priorité du quotidien. Aujourd’hui, cette communication passe essentiellement par le numérique, bien que certaines évolutions législatives menacent la communication des professionnels de santé.
Devenir kiné reste une ambition partagée par e nombreux lycéens en 2024. Tout est fait pour leur faciliter la tâche et pour les inciter à s’inscrire effectivement dans l’un des 53 IFMK de France.
La question mérite d’être posée, et un récent rapport de la Cour des Comptes donne des éléments pour se faire une idée précise des réponses à apporter sur cette utilité des URPS en 2024 pour les kinés libéraux.
Les kinés libéraux partagent régulièrement avec leurs patients des moments d’intimité au cours desquels certains « secrets » peuvent se dévoiler. Pour assurer la protection de ces derniers, une poignée de kinés sont d’ors et déjà autorisés à agir sans le consentement de leur patient. Les kinés libéraux, à l’écoute des patients, mais aussi des partenaires de confiance Les…
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La taxe lapin fait son grand retour dans les débats publics. Les kinés libéraux, comme l’ensemble des professionnels de santé, déplorent régulièrement le nombre croissant de rendez-vous non honorés. A l’heure où libérer du temps médical devient crucial, ces « lapins » deviennent une cible privilégiée pour rendre le système plus efficient. Les lapins,…
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A partir du 22 février 2024, 20 nouvelles lettres clés et 51 soins seront intégrés à la NGAP Kiné. Inscrivez-vous à notre webinaire le jeudi 15 février à 13h afin de poser toutes vos questions !
La pratique avancée, déjà officialisée pour la profession infirmière, pourrait à terme concerner les masseurs-kinésithérapeutes. Ce nouveau statut pourrait donner un nouvel élan à l’avenir de la profession kiné. La pratique avancée, une nouvelle approche pour transformer notre système de santé ? Les professions médicales et les auxiliaires médicaux, au sens du Code de…
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Plusieurs expérimentations sont en cours, et la pratique avancée, déjà officialisée pour la profession infirmière, pourrait à terme concerner les masseurs-kinésithérapeutes.
En quelques jours, les kinés libéraux et hospitaliers ont découvert la nomination d’un nouveau gouvernement. Certains kinés sont inquiets ou dubitatifs de l’arrivée de la nouvelle ministre de la Santé, qui na pas d’expérience dans ce domaine. Ils espèrent que les ambitions et promesses du président de la République en matière de transformation de notre système de…
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Cest une des questions récurrentes parmi les étudiantes et étudiants en Masso-kinésithérapie. Avant de choisir leur futur mode d’exercice, ils veulent connaitre précisément les conditions de rémunération de chacune des possibilités.
Quels seront les impacts de l’intelligence artificielle au quotidien pour les masseurs kinésithérapeutes ? L’intelligence artificielle a dominé l’actualité en 2023 et devrait continuer à le faire en 2024. L’IA représente-t-elle une menace ou une opportunité pour les kinés libéraux et hospitaliers ? 2024 pour les masseurs kinésithérapeutes, une accélération de la digitalisation !…
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Alors que les professionnels de santé en général et les kinés libéraux et hospitaliers en particulier attendaient beaucoup de cette année 2023, les espoirs ont été rapidement balayés par la réalité du terrain. Les premières semaines de 2023 ont marqué un rapide retour du réalisme du côté de la profession.
L’accès direct aux masseurs-kinésithérapeutes devenu réalité au printemps 2023 Si les kinés libéraux devaient retenir un événement marquant de 2023, il y a de fortes chances que ce soit l’octroi récent de l’accès direct. On se souvient des débats animés lors des discussions sur la proposition de loi portée par Stéphanie Rist. En avril dernier,…
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Alors que l’accès direct aux kinés libéraux a été officiellement reconnu au printemps dernier, des discussions sont toujours en cours pour encadrer ce dernier et le faire évoluer.
Devenir kiné libéral en 2024, une ambition pour répondre à un besoin d’intérêt général ! Chaque année, les résultats officiels de Parcoursup le confirment : les études de santé continuent d’attirer un nombre important de lycéennes et de lycées. Quils se destinent à devenir kiné libéral, infirmier hospitalier, médecin généraliste…, ces candidats aux études de santé doivent suivre un…
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2023 restera marqué par de grandes avancées pour la Masso-kinésithérapie. Cependant, les kinés libéraux et hospitaliers continuent de revendiquer davantage de progrès en la matière et 2024 s’annonce déjà comme une année d’une plus grande reconnaissance de la profession.
Comme tous les professionnels de santé, les masseurs-kinésithérapeutes doivent faire face à une méfiance, une défiance d’une part de plus en plus conséquente des patients vis-à-vis de l’approche scientifique. Et cette « irrationalité » nuit à la bonne compréhension du parcours de soins tel qu’il est organisé aujourd’hui.
On pensait les querelles autour de la notion même de massage éteintes depuis la décision de la Cour de Cassation de 2021. Pourtant, l’émergence des robots masseurs pourrait relancer ces débats, et inquiéter à nouveau les masseurs kinésithérapeutes.
Chaque année, l’épidémie de bronchiolite fait également ressurgir certains débats. Depuis 2019, la place des kinés libéraux dans la prise en charge de cette pathologie des nourrissons fait partie de ceux-ci, même si aujourd’hui un guide de bonnes pratiques permet de clore ces débats.
Au-delà du terme générique, la transition écologique implique que chacun puisse fournir des efforts pour parvenir à cet objectif d’intérêt général. Si les kinés libéraux sont déjà majoritairement engagés dans cette voie, un cadre plus général est en cours d’élaboration pour rendre ces efforts plus efficients.
La CNAM a présenté, au début du mois d’octobre, els résultats obtenus avec son nouveau plan de lutte anti-fraude. Plus que les résultats, la présentation faite de ces résultats irritent les professionnels de santé en général et les kinés libéraux en particulier.
Les kinés libéraux comme les médecins hospitaliers et plus généralement tous les professionnels de santé doivent pouvoir exercer en toute sécurité. Or, depuis plusieurs années, les violences en milieu de santé ont tendance à se multiplier, et le gouvernement entend bien s’attaquer au problème.
Tous les professionnels de santé en général et tous les kinés libéraux et hospitaliers étaient invités à envoyer leur contribution pour la stratégie nationale de santé. Ce texte définit les grandes orientations de la Santé en France pour les 10 prochaines années, et les kinés veulent en être des acteurs essentiels.
Les représentants de la profession ont rencontré, il y a quelques jours, le ministre de la Santé et de la prévention. Si tous les participants se félicitent de l’esprit constructif de ces discussions, peut-on espérer que cet enthousiasme va se prolonger jusqu’à l’ouverture des prochaines négociations ?
Si le système de santé connait de multiples évolutions depuis quelques années, les étudiants en Masso-kinésithérapie expriment eux-aussi, leurs aspirations et leurs ambitions.
Comme chaque année, le 8 septembre marquait la journée mondiale de la physiothérapie. Cest également l’occasion pour les kinés libéraux et hospitaliers de mieux faire connaître leurs compétences. Et ce besoin de communication ne doit pas se limiter à cette date symbolique. La journée mondiale de la physiothérapie pour mieux connaître les kinés Après…
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Les CPTS font partie des leviers les plus pertinents, selon le gouvernement, pour transformer efficacement notre système de santé. Pour les kinés libéraux comme pour de nombreux professionnels de santé, ces CPTS sont non seulement appelées de plus en plus de place, mais elles doivent aussi faire émerger de nouvelles idées de transformation.
La prévention s’impose désormais comme un axe prioritaire pour la transformation de notre système de santé. Les kinés libéraux sont pleinement impliqués par ces efforts et cela devrait s’accentuer encore dans les années à venir.
Comme tous les étudiants de France, les futurs kinés libéraux ou hospitaliers s’apprêtent à prendre le chemin de leur Institut de formation en Masso Kinésithérapie (IFMK). Si les Instituts publics appliqueront des frais de scolarité identiques à ceux exigibles à l’Université, il reste encore bien des aspects participant à ce qui est dénoncé comme une « injustice » criante.
Cette rentrée 2023 s’annonce dense pour les professionnels de santé. Les kinés libéraux attendent eux-aussi les décisions qui seront prises dans les prochains jours voire les prochaines semaines s’agissant de l’avenir de notre système de santé. Une période appelant à l’unité de toute la profession, qui reste encore marquée des oppositions ayant conduit à la signature de l’avenant 7.
Devenir kiné libéral ou masseur kinésithérapeute hospitalier représente l’ambition d’un grand nombre d’étudiants. Mais ils sont moins nombreux à aller au bout de leurs rêves. Pourquoi ?
Avec la publication du rapport annuel des revenus des professions libérales, les kinés libéraux comme tant d’autres professions de santé alertent sur une dégradation de leur situation économique. Une dégradation qui pourrait devenir dangereuse si rien nest fait rapidement.
En ce début d’été, l’actualité reste chargée pour les masseurs kinésithérapeutes. Alors qu’ils doivent apprendre à connaître leur nouveau ministre de tutelle, M Aurélien Rousseau, ils ont également pu prendre connaissance du rapport d’activité de leur ordre pour l’année 2022.
L’Assurance Maladie a récemment mis en ligne un site recensant toutes les données disponibles sur les professionnels de santé, dont les kinés libéraux. Pourquoi une telle diffusion ? Et surtout est-ce utile pour la profession ?
Le gouvernement a publié un arrêté pour satisfaire à une exigence ancienne des étudiants en Masso-kinésithérapie. Désormais les IFMK publics voient leurs frais d’inscription encadrés par la loi. La mesure sera-t-elle suffisante pour rendre la formation plus attractive ?
La première organisation représentative de la profession, la FFMKR, a célébré son 60ème anniversaire. Ce fut l’occasion de revenir sur l’évolution de la profession au cours des dernières décennies mais aussi le moment de se projeter dans l’avenir.
Alors qu’une négociation flash s’est ouverte entre les kinés libéraux et l’Assurance Maladie, la division de la profession laisse peser une menace sur l’aboutissement de ces dernières. Un consensus sera-t-il trouvé rapidement afin d’apporter une réponse acceptable à la profession ?
On évoque souvent les relations entre les kinés libéraux et les autorités publiques, ou avec d’autres professions de santé. En revanche, le jugement des Français et donc des patients est rarement évoqué. Cest une lacune comblée avec une récente étude consacrée au ressenti de la population sur les kinés libéraux et hospitaliers.
Ces derniers mois, les tensions entre les médecins généralistes et d’autres professionnels de santé, dont les kinés libéraux, se sont tendues. L’examen de la loi RIST explique en partie ces tensions, qu’il faut désormais apaiser pour pouvoir se projeter dans l’avenir.
Les questionnements sur l’organisation du système de santé en France se multiplient. Aussi revoit-on surgir, ces dernières semaines, une question récurrente : faut-il reconnaître le statut de professionnel de santé aux chiropracteurs et aux ostéopathes ?
Être rentable, voilà bien une obligation pour tous les professionnels libéraux de santé. Pourtant, le sujet reste tabou dans le domaine de la santé, et les kinés libéraux, à l’instar de tous les autres soignants, se doivent de trouver une issue à ce dilemme.
Les masseurs kinésithérapeutes libéraux ou hospitaliers sont pleinement conscients de toutes les décisions prises ces dernières semaines pour transformer le système de santé. Ils dénoncent cependant un manque de vision globale, mais aussi leur propre situation qui s’est considérablement dégradée depuis une décennie.
Dénonçant depuis plusieurs mois une stigmatisation et un manque de reconnaissance, les professionnels libéraux de santé alertent aujourd’hui sur une nouvelle menace pesant sur leur activité. Les kinés, médecins et autres infirmiers demandent à ne plus être considérés comme des fraudeurs en puissance …Seront-ils entendus ?
Les kinés libéraux en parlent depuis des années. Depuis quelques jours, l’accès direct aux kinésithérapeutes est devenu une réalité. Les parlementaires ont définitivement adopté cette décision, que de nombreux kinés attendaient depuis des années.
La santé a été définie comme une des priorités du gouvernement. Pour réussir à transformer durablement et efficacement l’organisation des soins en France, les autorités ont décidé de changer d’approche en donnant plus de latitude et de liberté aux acteurs de terrain. Comment ? Pour quel objectif ?
Les obligations administratives font partie de points noirs souvent cités par les kinés libéraux, dès qu’il s’agit d’évoquer leur pratique au quotidien. Parmi ces tâches administratives, la saisie des prescriptions apparaît être une obligation aussi chronophage que stressante.
Alors que les masseurs-kinésithérapeutes s’efforcent aujourd’hui de s’imposer dans un débat qui les oppose aux médecins généralistes, ils doivent aussi répondre aux attentes nombreuses et diverses des patients. Mieux faire connaître leur rôle et leur mission apparaît être aujourd’hui une priorité pour la profession.
La question na rien d’anodine, puisqu’elle figure parmi les priorités du ministère de la santé et de la prévention. Prendre soin des kinés libéraux et des professionnels de santé s’impose aujourd’hui comme un chantier d’intérêt national, comme l’a dévoilé récemment le gouvernement.